mercredi 8 juin 2005

J-57
Attention, post à connotation grivoise aujourd’hui ! Une fois n’est pas coutume, on va parler fesse dans ce journal.

Mon pote Loïc apprécie grandement les charmes de Clara Morgane. Jacky aussi, même s’il bave davantage devant Katsumi. Moi ? Boaf, le porno ça va 5 minutes.
Là n’est pas le sujet. Donc Loïc a téléchargé une vidéo salace de C.M. dans un jacuzzi, où la bonne femme s’évertue à gémir bruyamment (je la comprends, vu comment elle en prend plein dans le… wagon… hum), ainsi que la "chanson" intitulée "Call on me" d’Eric Prydz (le clip n’est pas mal non plus dans son genre). Et ce grand dadet a mixé les deux bandes-son et graver le tout sur CD !
Combien de fois on ne s’est pas ramené à l’Académie de Billard, cette zik à pleine balle avec la sono de Jacky… A chaque fois je suis bidonné de rire sur tout le trajet, les larmes aux yeux. C’est franchement un moment mythique. Plus y’a de monde à tourner la tête vers nous, plus on se fend la poire…
Une fois, on rentrait à Plug’ en passant par le Moulin Vert, et en s’arrêtant au feu tricolore de Pontigou (la pente mortelle pour les conducteurs en heure d’apprentissage), on avait cette zik à fond les ballons de baudruche. Il devait être aux alentours de 16h, une heure à forte affluence donc. Devant nous, une voiture avec une mère au volant et trois collégiennes ! Quand les vagissements d’extase de C.M. se sont propagés dans les airs, les trois adolescentes prépubères se sont retournées d’un bloc, et la femme (à son regard dans le rétroviseur) hallucinait. Heureusement pour ma pomme, j’étais à l’arrière plié en deux, car la crise de fou rire m’avait fait exploser les abdos… Enorme, tout simplement énorme.

Ça me rappelle la première fois que j’ai vu un film X, chez mon voisin d’en face, Romain. Je parle d’un vrai film de boules, hein, avec ses zooms au cœur de l’action, ses ralentis maîtrisés, ses musiques d’ascenseur… Pas un pauvre film de seins, genre ceux de M6 le dimanche soir. J’étais avec Loïc (toujours), et là Romain nous invite à visionner un film à caractère cochon. Le film se passait dans l’Orient Express. Je me souviens parfaitement de Loïc scotché au canapé tellement il était mort de rire. Y’a un passage dans le film où le cuisinier rentre dans son lieu de travail et tombe sur une nana qui avoue ne pas avoir payé de billet et s’être cachée frauduleusement aux cuisines (et là vous dites tous : "Oh ! la vilaine…") Le cuistot hésite à la dénoncer, mais devant les supplications de la nénette, il ne fait pas sa baltringue mais en contrepartie il sort son poireau, et puis bon, la fin vous la connaissez : zooms au cœur de l’action, ralentis maîtrisés, musique d’ascenseur.
Pendant un bon moment on a désigné entre nous ce genre d’œuvre du Septième Art "un film de train" (référence à l’Orient Express…), et Loïc fut surnommé Co, car Loïc ressemblait vaguement à coït… Comme d’habitude, une idée de Romain pour médire Loïc.

Je suis sûr qu'il y a moyen de bien se marrer sur les témoignages du premier contact des mecs avec un film porno...
:p

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