L’amour est un oiseau rebelle
Que nul ne peut apprivoiser,
Et c’est bien en vain qu’on l’appelle
S’il lui convient de refuser.
Rien n’y fait, menace ou prière.
L’un parle bien, l’autre se tait.
Et c’est l’autre que je préfère.
Il n’a rien dit mais il me plaît.
L’amour ! L’amour ! L’amour ! L’amour !
L’amour est enfant de Bohême,
Il n’a jamais jamais connu de loi.
Si tu ne m’aimes pas, je t’aime.
Si je t’aime, prends garde à toi !
Si tu ne m’aimes pas, si tu ne m’aimes pas, je t’aime,
Mais si je t’aime, si je t’aime, prends garde à toi !
L’oiseau que tu croyais surprendre
Battit d’aile et s’envola.
L’amour est loin, tu peux l’attendre.
Tu ne l’attends pas, il est là.
Tout autour de toi, vite vite,
Il vient, s’en va, puis il revient.
Tu crois le tenir, il t’évite.
Tu crois l’éviter, il te tient.
L’amour ! L’amour ! L’amour ! L’amour !
L’amour est enfant de Bohême,
Il n’a jamais jamais connu de loi.
Si tu ne m’aimes pas, je t’aime.
Si je t’aime, prends garde à toi !
Si tu ne m’aimes pas, si tu ne m’aimes pas, je t’aime,
Mais si je t’aime, si je t’aime, prends garde à toi !
samedi 10 janvier 2009
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Merci !
Yohann ©®™☺☼♥♫≈(2003-2009)
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