Blanc nénuphar, note d’eau, chavire les océans,
D’aucun ne coule, les flots seuls d’importance,
Guidé par le lumignon de l’espérance
A travers brumes, mers plates et autres ouragans.
Grève d’étoiles pour la nuit, une ne scintille pas :
Astre enchanteur, l’habituelle longue-vue ne suffit plus.
De la lucarne ouverte je réfléchis à cette lumière,
Et soudain, elle décroche de ce fantasque empyrée ;
Du pont, on admire cette courbe au tracé rêvé.
Sur la plage, assises, deux fées aux nizerés persans,
Je m’y avance, foulant le sable micacé, miroir brisé.
Massage sceptique des tempes : manquerais-je de sommeil ?
Mirage double des cieux : Vénus et sa pareille !
Que faire ? Pauvre Galilée ! Celle ayant la préférence
Travaille de la dentelle, respire d’un sourire franc ;
La seconde n’est pas en reste, les lèvres pincées néanmoins.
Gravité inexistante, devenue comble de l’attirance ;
Le ressac langoureux incite à se prononcer…
Main animée frôlant ce visage satiné au regard vert,
Terres brûlées, cœurs ravagés, infini de l’instant…
Evanouies. Les rafales hurlent dans le lointain,
Chassant les limbes, accueillant l’aurore qui point.
Las, un discours prêtant à rire sans discourir :
Face aux acquis de la pensée, semblant avoir la berlue,
Se prit le tapis de soie ; ainsi succomba
La raison, éteinte dans sa chute. Se relèvera ?
J’ai écrit ce poème pour une raison particulière, que je n’exposerai pas ici. J’espère en tout cas que l’effet voulu se produira… Je peux toujours rêver !
D’aucun ne coule, les flots seuls d’importance,
Guidé par le lumignon de l’espérance
A travers brumes, mers plates et autres ouragans.
Grève d’étoiles pour la nuit, une ne scintille pas :
Astre enchanteur, l’habituelle longue-vue ne suffit plus.
De la lucarne ouverte je réfléchis à cette lumière,
Et soudain, elle décroche de ce fantasque empyrée ;
Du pont, on admire cette courbe au tracé rêvé.
Sur la plage, assises, deux fées aux nizerés persans,
Je m’y avance, foulant le sable micacé, miroir brisé.
Massage sceptique des tempes : manquerais-je de sommeil ?
Mirage double des cieux : Vénus et sa pareille !
Que faire ? Pauvre Galilée ! Celle ayant la préférence
Travaille de la dentelle, respire d’un sourire franc ;
La seconde n’est pas en reste, les lèvres pincées néanmoins.
Gravité inexistante, devenue comble de l’attirance ;
Le ressac langoureux incite à se prononcer…
Main animée frôlant ce visage satiné au regard vert,
Terres brûlées, cœurs ravagés, infini de l’instant…
Evanouies. Les rafales hurlent dans le lointain,
Chassant les limbes, accueillant l’aurore qui point.
Las, un discours prêtant à rire sans discourir :
Face aux acquis de la pensée, semblant avoir la berlue,
Se prit le tapis de soie ; ainsi succomba
La raison, éteinte dans sa chute. Se relèvera ?
J’ai écrit ce poème pour une raison particulière, que je n’exposerai pas ici. J’espère en tout cas que l’effet voulu se produira… Je peux toujours rêver !
:o)
Màj : une faute s'était glissée au douzième vers. Il y a une nette différence entre septique et sceptique !
Màj : une faute s'était glissée au douzième vers. Il y a une nette différence entre septique et sceptique !
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