Spent my days with a woman unkind,
Smoked my stuff and drank all my wine.
Made up my mind to make a new start,
Going To California with an aching in my heart.
Someone told me there's a girl out there
With love in her eyes and flowers in her hair.
Took my chances on a big jet plane,
Never let them tell you that they're all the same.
The sea was red and the sky was grey,
Wondered how tomorrow could ever follow today.
The mountains and the canyons started to tremble and shake
As the children of the sun began to awake.
Seems that the wrath of the Gods
Got a punch on the nose and it started to flow;
I think I might be sinking.
Throw me a line if I reach it in time
I'll meet you up there where the path
Runs straight and high.
To find a queen without a king,
They say she plays guitar and cries and sings... la la la
Ride a white mare in the footsteps of dawn
Tryin' to find a woman who's never, never, never been born.
Standing on a hill in my mountain of dreams,
Telling myself it's not as hard, hard, hard as it seems.
jeudi 31 août 2006
samedi 12 août 2006
mardi 8 août 2006
_Quoi ?
_Le monde va mal ?
_Ouais, pas faux. Rahlala, que faire ?…
_Déjà, que l’agriculture en France arrête de produire du maïs, plante d’origine tropicale qui aspire des quantités d’eau monstrueusement élevées. L’énorme épine dans le pied que l’on s’enlèverait… Mais non, puisqu’on est un pays à tradition agricole, il faut cultiver, encore et toujours.
_Bel article plein d’espoir ce matin dans le Ouest-France (pour une fois) : transformer la paille en pâte à papier. Comme le dit Mr Delmas, « ça fait toujours mal de couper un arbre, alors que la paille on peut en jeter 700 à 800 mille tonnes par an. » En plus de ça, c’est un complément de revenus pour les agriculteurs, ils coûteront moins chers dans ce cas ! Non ? 130 000 tonnes de paille pour 50 000 de papier et 50 000 de produits dérivés ! Fallait y penser. Pas beaucoup de déchets, dix fois moins d’eau utilisée que dans une usine classique (quand on voit le gaspillage révoltant là où je travaille…), je vote pour. Des arbres sauvés… Qu’est-ce qu’ils attendent pour une généralisation ?
_A quand les énergies renouvelables ? La France, pays du lobby pétrolier (Total…). Quand on voit où ils en sont au Brésil… Il y a même des Clio roulant à l’alcool ! Des Clio ! Le bémol, c’est qu’il faut des champs extrêmement étendus, et qu’au Brésil cela s’est fait au détriment des forêts primaires. Mais il est temps de passer à autre chose que le pétrole, comme ça on affaiblit les Etats du Proche Orient (Iran) ainsi que l’Etat qui en ce moment se croit plus fort que le reste, j’ai nommé la Russie.
_A quand l’autonomie énergétique de chaque foyer ? Panneaux solaires, récupération d’eau, double vitrage… L’autonomie est un grand mot, je vais un peu trop vite, disons plutôt un énorme pas vers l’indépendance. Là où le bât blesse, c’est qu’en France ce sont des compagnies publiques qui gèrent l’eau, l’électricité… Si on enlève ces revenus à l’Etat, croyez bien qu’ils vont tout faire pour trouver un autre moyen d’imposer tout ce barda.
_Je peux être paranoïaque, mais je me rends compte que la vitesse trop lente de la réforme énergétique en cours n’est autre qu’une volonté délibérée de freiner au mieux les innovations d’économie. L’Etat a trop à perdre en ce moment pour avancer dans ce domaine.
_Put*** de politiques qui ne bougent que fesse par fesse.
_Le monde va mal ?
_Ouais, pas faux. Rahlala, que faire ?…
_Déjà, que l’agriculture en France arrête de produire du maïs, plante d’origine tropicale qui aspire des quantités d’eau monstrueusement élevées. L’énorme épine dans le pied que l’on s’enlèverait… Mais non, puisqu’on est un pays à tradition agricole, il faut cultiver, encore et toujours.
_Bel article plein d’espoir ce matin dans le Ouest-France (pour une fois) : transformer la paille en pâte à papier. Comme le dit Mr Delmas, « ça fait toujours mal de couper un arbre, alors que la paille on peut en jeter 700 à 800 mille tonnes par an. » En plus de ça, c’est un complément de revenus pour les agriculteurs, ils coûteront moins chers dans ce cas ! Non ? 130 000 tonnes de paille pour 50 000 de papier et 50 000 de produits dérivés ! Fallait y penser. Pas beaucoup de déchets, dix fois moins d’eau utilisée que dans une usine classique (quand on voit le gaspillage révoltant là où je travaille…), je vote pour. Des arbres sauvés… Qu’est-ce qu’ils attendent pour une généralisation ?
_A quand les énergies renouvelables ? La France, pays du lobby pétrolier (Total…). Quand on voit où ils en sont au Brésil… Il y a même des Clio roulant à l’alcool ! Des Clio ! Le bémol, c’est qu’il faut des champs extrêmement étendus, et qu’au Brésil cela s’est fait au détriment des forêts primaires. Mais il est temps de passer à autre chose que le pétrole, comme ça on affaiblit les Etats du Proche Orient (Iran) ainsi que l’Etat qui en ce moment se croit plus fort que le reste, j’ai nommé la Russie.
_A quand l’autonomie énergétique de chaque foyer ? Panneaux solaires, récupération d’eau, double vitrage… L’autonomie est un grand mot, je vais un peu trop vite, disons plutôt un énorme pas vers l’indépendance. Là où le bât blesse, c’est qu’en France ce sont des compagnies publiques qui gèrent l’eau, l’électricité… Si on enlève ces revenus à l’Etat, croyez bien qu’ils vont tout faire pour trouver un autre moyen d’imposer tout ce barda.
_Je peux être paranoïaque, mais je me rends compte que la vitesse trop lente de la réforme énergétique en cours n’est autre qu’une volonté délibérée de freiner au mieux les innovations d’économie. L’Etat a trop à perdre en ce moment pour avancer dans ce domaine.
_Put*** de politiques qui ne bougent que fesse par fesse.
samedi 5 août 2006
_Effectivement, effectivement…
_Oui oui, tout à fait.
_Mais, là-dessus, vous avez totalement raison. Je ne me suis pas foulé pour le mois de juillet. Bon, j’ai bien quelques circonstances atténuantes, même si elles ne sont pas toutes recevables : chaleur à mourir, travail harassant, cerveau qui fuit, recherche d’un logement sur Melun…
_Ah, sur ce dernier point, c’est bon. Pas de soucis. Oui. 27 mètres carrés, 320€ charges comprises, plein centre-ville rue piétonne… On peut dire ça, oui, c’est une affaire ! J’avais moi-même halluciné sur le coup, surtout que ce n’était que ma deuxième visite de la journée. De plus, coup de bol : j’étais deuxième dans la liste d’attente, mais le premier n’a pas daigné répondre au téléphone quand l’agence l’a contacté. Résultat, je suis passé en premier. Ne manquait plus que l’approbation du propriétaire pour mon dossier. C’est chose faite !
_Comparé au premier que j’avais visité, sur le moment j’ai eu un choc. Même prix, 15 mètres carrés… Oui, 15. Mais pas 15 de surface habitable. Sous les toits, 3ème étage, meublé… Un escroc le mec. Aucun scrupule. Il avait la tête de l’emploi d’ailleurs. ‘Culé.
_Oui, à Melun. Je suis à 10 minutes à pied de l’IUFM. J’ai fait le chemin pour voir. Je traverse une île, deux ponts qui enjambent la Seine.
_Oui. Ah, j’avais une crainte aussi, celle d’être en pleine Beauce, avec des champs de blé à perte de vue. Une vue à filer la chair de poule pour l’amoureux sylvestre que je suis. Pas du tout ! Non ! La ville est à la bordure septentrionale de la forêt de Fontainebleau. J’ai déjà hâte de m’y promener, en automne et en hiver. Les arbres sous la neige, hahaha… Génial.
_Ahaa, je ne sais pas. On verra bien. Ça ne risque pas d’être la même ambiance que la Fac. Et puis je ne serai plus en Bretagne, ce n’est pas la même mentalité. A mon avis, le temps de m’adapter, je pourrai toujours faire quelques connaissances. D’ailleurs, samedi dernier, quand j’y suis allé, on s’est arrêté au Makeudeau. Il y avait une caissière typée indienne… Mon sang n’a fait qu’un tour. Je me suis mis à prier pour qu’elle soit à l’IUFM à la rentrée !! On a échangé un court regard avant de partir… Arf. Je sais… Rah.
_En tout cas, d’ici à ce que j’emménage, il ne me reste que trois week-ends à faire en Bretagne. Hé oui ! Ma pré-rentrée est fixée au 18 septembre, et la rentrée le 25. Pourquoi trois week-ends ? Je finis mon travail le 1er septembre, et je suis à Melun le lendemain pour signer le bail ! Et je n’en partirai plus. Peut-être aux vacances de Noël, on verra, là aussi.
_Ma hâte est en concurrence avec une sourde appréhension. Oui, c’est vrai. Oui. Mais, il ne me reste plus qu’une année en tant qu’étudiant. Ensuite c’est le plongeon dans la vie active.
_Allez, je te laisse, j’ai des cartons à préparer, des meubles à démonter, pleins de trucs à acheter… Oui, c’est ça. Haha ! A bientôt !
_Oui oui, tout à fait.
_Mais, là-dessus, vous avez totalement raison. Je ne me suis pas foulé pour le mois de juillet. Bon, j’ai bien quelques circonstances atténuantes, même si elles ne sont pas toutes recevables : chaleur à mourir, travail harassant, cerveau qui fuit, recherche d’un logement sur Melun…
_Ah, sur ce dernier point, c’est bon. Pas de soucis. Oui. 27 mètres carrés, 320€ charges comprises, plein centre-ville rue piétonne… On peut dire ça, oui, c’est une affaire ! J’avais moi-même halluciné sur le coup, surtout que ce n’était que ma deuxième visite de la journée. De plus, coup de bol : j’étais deuxième dans la liste d’attente, mais le premier n’a pas daigné répondre au téléphone quand l’agence l’a contacté. Résultat, je suis passé en premier. Ne manquait plus que l’approbation du propriétaire pour mon dossier. C’est chose faite !
_Comparé au premier que j’avais visité, sur le moment j’ai eu un choc. Même prix, 15 mètres carrés… Oui, 15. Mais pas 15 de surface habitable. Sous les toits, 3ème étage, meublé… Un escroc le mec. Aucun scrupule. Il avait la tête de l’emploi d’ailleurs. ‘Culé.
_Oui, à Melun. Je suis à 10 minutes à pied de l’IUFM. J’ai fait le chemin pour voir. Je traverse une île, deux ponts qui enjambent la Seine.
_Oui. Ah, j’avais une crainte aussi, celle d’être en pleine Beauce, avec des champs de blé à perte de vue. Une vue à filer la chair de poule pour l’amoureux sylvestre que je suis. Pas du tout ! Non ! La ville est à la bordure septentrionale de la forêt de Fontainebleau. J’ai déjà hâte de m’y promener, en automne et en hiver. Les arbres sous la neige, hahaha… Génial.
_Ahaa, je ne sais pas. On verra bien. Ça ne risque pas d’être la même ambiance que la Fac. Et puis je ne serai plus en Bretagne, ce n’est pas la même mentalité. A mon avis, le temps de m’adapter, je pourrai toujours faire quelques connaissances. D’ailleurs, samedi dernier, quand j’y suis allé, on s’est arrêté au Makeudeau. Il y avait une caissière typée indienne… Mon sang n’a fait qu’un tour. Je me suis mis à prier pour qu’elle soit à l’IUFM à la rentrée !! On a échangé un court regard avant de partir… Arf. Je sais… Rah.
_En tout cas, d’ici à ce que j’emménage, il ne me reste que trois week-ends à faire en Bretagne. Hé oui ! Ma pré-rentrée est fixée au 18 septembre, et la rentrée le 25. Pourquoi trois week-ends ? Je finis mon travail le 1er septembre, et je suis à Melun le lendemain pour signer le bail ! Et je n’en partirai plus. Peut-être aux vacances de Noël, on verra, là aussi.
_Ma hâte est en concurrence avec une sourde appréhension. Oui, c’est vrai. Oui. Mais, il ne me reste plus qu’une année en tant qu’étudiant. Ensuite c’est le plongeon dans la vie active.
_Allez, je te laisse, j’ai des cartons à préparer, des meubles à démonter, pleins de trucs à acheter… Oui, c’est ça. Haha ! A bientôt !
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Merci !
Yohann ©®™☺☼♥♫≈(2003-2009)
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