mardi 21 septembre 2004

Béat

Bon, un autre poème élaboré tard hier soir...

La poésie n'est qu'un instrument de plus, bien inutile
En soit, les mots s'étirant dans les airs, plats, futiles
Et pathétiques, pour exprimer ce que je ressens au fond
De mon anima. Dans cette confusion, l'espace dûment conquis
Par ton aura et tes manières si douces
S'étend : cela n'a, pour moi, que peu d'importance,
Désormais notre chandelle dédaigne de s'éteindre.
Ce bonheur permanent me vivifie, consacre ma dépendance,
M'aide à apprécier mes propres sentiments, me pousse
A croire en la chance d'être, à tes côtés, ici,
Ton coeur et le mien battant paisiblement à l'unisson.
Jolie plante imparfaite, tant que ta floraison est belle,
Aucune raison ne m'empêchera de languir tes prunelles.

Plus long que d'habitude, mais je l'aime bien celui-là.

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Yohann ©®™☺☼♥♫≈(2003-2009)