A peine ma lampe allumée que celle-ci clignote et explose avec un bruit de pétard mouillé et une petite gerbe d’étincelles.
C’est ce que je pensais qui allait arriver… qui est arrivé (c’est mal tourné, mais je m’en fouts !) à la soirée à laquelle j’étais invité hier. Soient elles étaient nunuches à souhait, soient elles n’étaient d’un intérêt limité, soient elles étaient prises. Mes mots vous sembleront sévères, mais ce fut la triste réalité. Et j’ai à peine fait marcher mon exigence personnelle, car elles se sont révélées d’elles-mêmes, les pauvres filles… Il y en avait bien une, mais comme par hasard elle s’est "attraper" assez rapidement. Oui, malheureusement, une soirée à vite oublier de ce côté-là.
Pour rattraper ça, il ne me reste que deux occasions vraiment "franches", et qui ont lieu le même jour. D’une je vais au restaurant avec les groupes du Taïso et du Ju-Jitsu en première partie de soirée (et si cela se présente bien, pourquoi ne pas enchaîner par un p’tit bowling ?) puis pour le reste de la nuit un anniversaire multiple dont – je n’en reviens pas – la number one de mon top five du classement féminin de la faculté de Quimper sera présente. Là-dessus je ne me fais peu voire pas du tout d’illusions quant aux chances d’abordage que j’aurais alors en ma possession...
"Faut pas dire ça, y’a toujours une chance !" me rassurait le Dom Juan de la classe dans le courant de la semaine. Attitude dubitative de ma part pour réponse. Se rend-il compte de l’inaccessibilité de la personne ? Au niveau physique, c’est carrément le jour et la nuit ! Goddam ! Surtout qu’il y a un individu de sa promo dans son sillage. Non, aucune chance ! J’espère ne pas avoir de mauvaises surprises ce soir-là comme j’ai pu en avoir hier. Le seul fait marquant dont je me souviendrais est d’avoir englouti cinq côtes de porc d’affilée ! Damned !
Et ces foutus partiels qui arrivent à grandes enjambées. Je les perçois sous de meilleures auspices qu’il y a deux-trois semaines, où je ne donnais pas cher de ma peau pour ce second semestre. Pas moins de 4 partiels pour cette douzième et dernière semaine de "cours", dont un de 4 heures le samedi matin… Y’a un semblant d’abus dans cette administration mal guindée. Leur politique générale me dégoûte, sans parler de leur communication erratique voire inexistante, doublée de l’immense mauvaise foi du chef marmiton du Pôle (celui qui a répondu de manière précipitée et désordonnée à notre pétition mais, chut ! ne citons pas de nom…).
Je me demande pourquoi, mais j'ai une furieuse envie de me remettre à Final Fantasy VII, comme au bon vieux temps. C'est du reste semblable à tout grand moment que l'on souhaite retrouver. Et c'est vrai que je n'ai pas que ça à faire...
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