21 ans aujourd’hui !
Je vais donc vous écrire ce qu’il y a marqué sur la carte de ma très chère grand-mère.
« Avoir 21 ans a beaucoup d’avantages :
- ça fait 3 ans que tu es majeur,
- tu n’as pas de rides (la mauvaise mine que tu trimballes, c’est le reste des week-ends !),
- tu as encore le temps de penser à la retraite,
- tu vis d’amour et d’eau fraîche,
- tu peux encore dépenser sans compter,
- tu as pleins de projets en tête.
Tu as la pêche et quelle pêche !
Vive toi !
Vive tes 21 ans !
(ce que ma G-M a rajouté :)
Que te souhaiter d'autre ? Sinon une belle et longue vie et que tes voeux se réalisent.
Gros bisous
Grand-Mère »
Très sympathique, n’est-ce pas ? :-) Pour une fois, je ne vais pas m'apitoyer sur mon sort et ne pas fournir de commentaires sur cette carte qui pourrait assombrir ce jour (on va dire) particulier pour ma pomme.
Merci encore à tous ceux qui y ont pensé.
dimanche 25 juillet 2004
vendredi 23 juillet 2004
Le réveil !!
Il était temps...
Qu’importe si les années m’emportent, car il ne sert pas à grand-chose de courir dans la vie. Pourquoi ? Car tout ce que nous ne contrôlerons jamais sont notre naissance et notre mort : le départ et l’arrivée. Quelles motivations avons-nous en arrivant sur cette Terre ? Une seule : respirer. Puis nous les découvrons au fur et à mesure de notre marche.
La surprise ! L’inattendu ! L’étonnement !
C’est tout cela, et encore plus, que je cherche ; je ne le répèterais jamais assez. Ma soif de savoir est infinie, le comble c’est que la source d'informations ne sera jamais tarie. C’est parce que j’étais con de naissance que j’ai maintenant un besoin de connaissances (même si ma débilité et mon innocence d’origine se sont amenuisées : on en apprend tous les jours !).
Tout cela me semble cependant bien égoïste. A quoi bon ingurgiter des faits et les apprécier pour son plaisir personnel si l’on peut partager avec n’importe quelle personne ? Attitude assez pitoyable. A vrai dire je raisonnais (globalement) de cette manière jusqu’à l’après-rentrée de ma seconde 1ère S (saison 2001-2002, pas si loin finalement), pour deux raisons : je n’étais pas fréquentable et personne ne souhaitait m’écouter. Comme ils le voulaient, je fermais mon clape-merde, jusqu’à cette période donc (seule fois où je serais délégué de classe).
Depuis ma vie à trois dans la chambre d’internat (saison suivante), j’ai littéralement appris ce que le mot "partage" signifiait (énorme remerciement à Guillaume et Jonathan pour m’avoir supporté tout ce temps. Vous me manquez les mecs.), au moins de très solides bases sur le sujet. Je me rends compte aujourd’hui à quel point j’ai pu souffrir auparavant. Je me rends compte aujourd’hui à quel point j’avais besoin de partage. La solitude est un mal terrible qui m’a marqué au fer rouge. D’où mon côté plus que maladroit avec les filles, en général (merci au lycée Thépot). Je n’ai pas encore perdu espoir de ce côté-là, je m’affirme petit à petit… Mais je suppose que les filles qui se sont intéressées à moi (s’il y en a eu) ont du être assez désappointées voire lésées de ma nonchalance…
Je me rappelle qu’il y a très longtemps (mon papy était encore de ce monde, donc c’était avant 1991), j’étais justement chez mes grands-parents paternels, et je disais : "Maman ?", elle se retournait et me demandait "Oui, quoi ?", et moi, frustré, je répondais "Nan, rien…". J’avais besoin d’attention, j’avais besoin que l’on me parle, puisqu’à cet âge-là (entre 5 et 7 ans) je ne connaissais quasiment rien !… Disons que ça faisait un bon moment que je possédais le pouvoir lire et écrire, mais je n’avais pas de matière pour commencer une discussion… Quoi de plus normal ! Par contre, ce que je savais que trop bien, c’était que je m’ennuyais à mort. C’était et c’est toujours l’ennemi le plus désemparant que je connaisse. Le nombre de fois où j’ai pensé et dit "j’m’emmerde", "j’me fais chier" et surtout le redoutable "Chais pas coâ faire" dépasse l’entendement.
C’est ainsi que lorsque je me suis mis aux échecs, j’ai senti que ça me plaisait en tant que passe-temps (pour ça peut-être que j’ai eu des migraines pendant 2-3 jours, le jeu avait dû réveiller une partie endormie de la gélatine qui me sert de cervelle). Et qui plus est le commencement de cette pratique coïncide avec une période étonnamment abondante en rêves en tous genres. Je me suis remis à écrire (merci Manon, malgré toi tu m’as fait sauter à la figure lundi à Dz 2004 à quel point j’avais délaissé ce bonheur de gribouiller) !! (Pour info, j’ai mis mon livre en mode veille, je vais d’abord me consacrer à d’autres "petits" écrits, car ce projet qui me tient à cœur est trop conséquent pour le moment, trop… gigantesque. J’attends d’en apprendre plus sur la vie pour me plonger vraiment à fond dedans. Tant pis pour les (rares) personnes qui attendaient ! Désolé…). Mais les échecs ne sont qu’un tremplin pour me lancer dans le go, ce formidable jeu asiatique (considéré comme un des quatre arts sino-japonais). Là où vous n’avez que 20 emplacements possibles au premier coup aux échecs, vous en avez 361 au go ! N’est-ce pas fantastique ? N’est-ce pas un formidable moyen de partage ?
Malgré ce besoin de nouveautés, un autre besoin apparaît : la constance. D’où mon amour de la Bretagne, et de tout ce qui l’entoure. Cette musique qui parvient à mes oreilles m’enivre totalement, car en étant ce que je suis, je contribue à cette musique. Je vibre en elle. Et toute la région bretonne est ce que l’on peut appeler mes fondations.
La Bretagne a, malgré elle, taillé dans le granit l’homme que je suis aujourd’hui, du haut de mes vingt années révolues. Est-ce gratifiant ? Mouarf
Pourtant la constance souhaitée peut être ébranlée par l’arrivée d’une charmante demoiselle dans ma vie. Qui sait ? Je suis assez effrayé par cette perspective… "Mais pourquoi ? C’est idiot comme raisonnement !" Je suis un idiot ! ;-) Sérieusement, j’ai peur du fait que sortir avec la fille m’empêche de m’exprimer tel le guignol que je suis. Je deviendrais trop "sérieux", et un homme sérieux n’est-il pas des plus ennuyeux ? Il faut bien des sacrifices pour former un couple, mais le fait de devenir trop sérieux est un palier trop élevé à franchir. Je préfère rester célibataire que de devenir ainsi. Je sais, c’est un tantinet dépassé comme concept, mais j’ai réussi à me fourguer cette idée dans la tête… Vous me direz "Si la fille sort avec toi, c’est qu’elle t’a choisi tel que tu es, pas pour ce que tu vas devenir". Vous avez totalement raison. Mais une fille pareille ne court pas les rues, elles se mettent plutôt sur le trottoir pour m’éviter ! :-) J’ai une tendance plutôt pessimiste, vous l’aurez remarqué. Disons que je ne me fais pas d’illusions. J’ai toujours (à peu près…) su qui m’attirait, mais je n’ai jamais su qui j’attirais ! Je suis aveugle, c'est réellement affligeant, il faut vraiment insister pour que je comprenne. Et il faudra bien qu’à un moment je bouge mes fesses pour aller vers l’autre, de toute façon.
Je sais pertinemment qu’il me reste de très nombreuses choses à découvrir dans ma vie, je n’en doute pas. Je suis même sûr qu’il me reste même chez moi des parties bonnes et mauvaises. J’espère plus bonnes que mauvaises ! Sans vouloir me mettre en avant, je ne pense pas avoir un mauvais fond.
Un rapport entre mes blagues pourries et les échecs : parfois une blague est facile à trouver, on va dire que c’est un coup direct. Mais celles dont vous ne comprenez pas tout de suite le sens sont à plusieurs coups d’avance. Donc à ma façon je jouais aux échecs au niveau humoristique ! Et je regarde maintenant d’un autre œil le monde qui m’entoure. Parce que justement je me suis rendu compte que quelque fois des situations se jouent avec des coups d’avance. Intéressant. C’est le genre de découvertes pas forcément évidentes que j’aime beaucoup dénicher.
J’ai insinué l’autre jour que je n’appréciais pas l’été. Vives réactions chez mes collègues historiens. Donc, je dois quelques explications. Primo, j’aime apprendre, n’importe où, n’importe quand, dans n’importe quel domaine que ce soit (enfin presque). Les vacances scolaires… Ça va deux semaines pour décompresser, mais trois mois !! Pfiou ! (Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu’il y en a qui crie au scandale) Secondo, je n’apprécie pas trop la chaleur et encore moins les coups de soleil. Et tant pis si je reste blanc ! Rien à faire. Terzo, je ne vois jamais deux potes en même temps, y’sont tous éparpillés (y’z’ont leur vie, c’est normal…). Quarto, mes potes partent en chasse, signent pour des CDD amoureux estivaux (ça te rappelle quelque chose Isa ? ;-) ), alors que ce genre de pratique me répugne. Quinto, mon cerveau a tendance à se mettre (lui aussi) en veille, ce que je n’accepte pas (ça rejoint la première raison). Sesto, je suis seul, mais ce n’est pas nouveau (ça rejoint la quatrième raison).
La saison que j’affectionne le plus reste le printemps : il fait beau sans faire trop chaud.
Ayayaïe ! Caramba(r) ! Qu’est-ce que je peux déblatérer comme idioties !! Hein ? Comment ça je suis sévère avec moi-même ?!
Z’avez peut-être raison… Mais comme m’a soufflé un certain Y.H. cette nuit, alors qu’il n’arrivait pas à dormir, "Personne n’est parfait avec lui-même, encore moins en couple !"
Yeah. ;-)
Il était temps...
Qu’importe si les années m’emportent, car il ne sert pas à grand-chose de courir dans la vie. Pourquoi ? Car tout ce que nous ne contrôlerons jamais sont notre naissance et notre mort : le départ et l’arrivée. Quelles motivations avons-nous en arrivant sur cette Terre ? Une seule : respirer. Puis nous les découvrons au fur et à mesure de notre marche.
La surprise ! L’inattendu ! L’étonnement !
C’est tout cela, et encore plus, que je cherche ; je ne le répèterais jamais assez. Ma soif de savoir est infinie, le comble c’est que la source d'informations ne sera jamais tarie. C’est parce que j’étais con de naissance que j’ai maintenant un besoin de connaissances (même si ma débilité et mon innocence d’origine se sont amenuisées : on en apprend tous les jours !).
Tout cela me semble cependant bien égoïste. A quoi bon ingurgiter des faits et les apprécier pour son plaisir personnel si l’on peut partager avec n’importe quelle personne ? Attitude assez pitoyable. A vrai dire je raisonnais (globalement) de cette manière jusqu’à l’après-rentrée de ma seconde 1ère S (saison 2001-2002, pas si loin finalement), pour deux raisons : je n’étais pas fréquentable et personne ne souhaitait m’écouter. Comme ils le voulaient, je fermais mon clape-merde, jusqu’à cette période donc (seule fois où je serais délégué de classe).
Depuis ma vie à trois dans la chambre d’internat (saison suivante), j’ai littéralement appris ce que le mot "partage" signifiait (énorme remerciement à Guillaume et Jonathan pour m’avoir supporté tout ce temps. Vous me manquez les mecs.), au moins de très solides bases sur le sujet. Je me rends compte aujourd’hui à quel point j’ai pu souffrir auparavant. Je me rends compte aujourd’hui à quel point j’avais besoin de partage. La solitude est un mal terrible qui m’a marqué au fer rouge. D’où mon côté plus que maladroit avec les filles, en général (merci au lycée Thépot). Je n’ai pas encore perdu espoir de ce côté-là, je m’affirme petit à petit… Mais je suppose que les filles qui se sont intéressées à moi (s’il y en a eu) ont du être assez désappointées voire lésées de ma nonchalance…
Je me rappelle qu’il y a très longtemps (mon papy était encore de ce monde, donc c’était avant 1991), j’étais justement chez mes grands-parents paternels, et je disais : "Maman ?", elle se retournait et me demandait "Oui, quoi ?", et moi, frustré, je répondais "Nan, rien…". J’avais besoin d’attention, j’avais besoin que l’on me parle, puisqu’à cet âge-là (entre 5 et 7 ans) je ne connaissais quasiment rien !… Disons que ça faisait un bon moment que je possédais le pouvoir lire et écrire, mais je n’avais pas de matière pour commencer une discussion… Quoi de plus normal ! Par contre, ce que je savais que trop bien, c’était que je m’ennuyais à mort. C’était et c’est toujours l’ennemi le plus désemparant que je connaisse. Le nombre de fois où j’ai pensé et dit "j’m’emmerde", "j’me fais chier" et surtout le redoutable "Chais pas coâ faire" dépasse l’entendement.
C’est ainsi que lorsque je me suis mis aux échecs, j’ai senti que ça me plaisait en tant que passe-temps (pour ça peut-être que j’ai eu des migraines pendant 2-3 jours, le jeu avait dû réveiller une partie endormie de la gélatine qui me sert de cervelle). Et qui plus est le commencement de cette pratique coïncide avec une période étonnamment abondante en rêves en tous genres. Je me suis remis à écrire (merci Manon, malgré toi tu m’as fait sauter à la figure lundi à Dz 2004 à quel point j’avais délaissé ce bonheur de gribouiller) !! (Pour info, j’ai mis mon livre en mode veille, je vais d’abord me consacrer à d’autres "petits" écrits, car ce projet qui me tient à cœur est trop conséquent pour le moment, trop… gigantesque. J’attends d’en apprendre plus sur la vie pour me plonger vraiment à fond dedans. Tant pis pour les (rares) personnes qui attendaient ! Désolé…). Mais les échecs ne sont qu’un tremplin pour me lancer dans le go, ce formidable jeu asiatique (considéré comme un des quatre arts sino-japonais). Là où vous n’avez que 20 emplacements possibles au premier coup aux échecs, vous en avez 361 au go ! N’est-ce pas fantastique ? N’est-ce pas un formidable moyen de partage ?
Malgré ce besoin de nouveautés, un autre besoin apparaît : la constance. D’où mon amour de la Bretagne, et de tout ce qui l’entoure. Cette musique qui parvient à mes oreilles m’enivre totalement, car en étant ce que je suis, je contribue à cette musique. Je vibre en elle. Et toute la région bretonne est ce que l’on peut appeler mes fondations.
La Bretagne a, malgré elle, taillé dans le granit l’homme que je suis aujourd’hui, du haut de mes vingt années révolues. Est-ce gratifiant ? Mouarf
Pourtant la constance souhaitée peut être ébranlée par l’arrivée d’une charmante demoiselle dans ma vie. Qui sait ? Je suis assez effrayé par cette perspective… "Mais pourquoi ? C’est idiot comme raisonnement !" Je suis un idiot ! ;-) Sérieusement, j’ai peur du fait que sortir avec la fille m’empêche de m’exprimer tel le guignol que je suis. Je deviendrais trop "sérieux", et un homme sérieux n’est-il pas des plus ennuyeux ? Il faut bien des sacrifices pour former un couple, mais le fait de devenir trop sérieux est un palier trop élevé à franchir. Je préfère rester célibataire que de devenir ainsi. Je sais, c’est un tantinet dépassé comme concept, mais j’ai réussi à me fourguer cette idée dans la tête… Vous me direz "Si la fille sort avec toi, c’est qu’elle t’a choisi tel que tu es, pas pour ce que tu vas devenir". Vous avez totalement raison. Mais une fille pareille ne court pas les rues, elles se mettent plutôt sur le trottoir pour m’éviter ! :-) J’ai une tendance plutôt pessimiste, vous l’aurez remarqué. Disons que je ne me fais pas d’illusions. J’ai toujours (à peu près…) su qui m’attirait, mais je n’ai jamais su qui j’attirais ! Je suis aveugle, c'est réellement affligeant, il faut vraiment insister pour que je comprenne. Et il faudra bien qu’à un moment je bouge mes fesses pour aller vers l’autre, de toute façon.
Je sais pertinemment qu’il me reste de très nombreuses choses à découvrir dans ma vie, je n’en doute pas. Je suis même sûr qu’il me reste même chez moi des parties bonnes et mauvaises. J’espère plus bonnes que mauvaises ! Sans vouloir me mettre en avant, je ne pense pas avoir un mauvais fond.
Un rapport entre mes blagues pourries et les échecs : parfois une blague est facile à trouver, on va dire que c’est un coup direct. Mais celles dont vous ne comprenez pas tout de suite le sens sont à plusieurs coups d’avance. Donc à ma façon je jouais aux échecs au niveau humoristique ! Et je regarde maintenant d’un autre œil le monde qui m’entoure. Parce que justement je me suis rendu compte que quelque fois des situations se jouent avec des coups d’avance. Intéressant. C’est le genre de découvertes pas forcément évidentes que j’aime beaucoup dénicher.
J’ai insinué l’autre jour que je n’appréciais pas l’été. Vives réactions chez mes collègues historiens. Donc, je dois quelques explications. Primo, j’aime apprendre, n’importe où, n’importe quand, dans n’importe quel domaine que ce soit (enfin presque). Les vacances scolaires… Ça va deux semaines pour décompresser, mais trois mois !! Pfiou ! (Je ne sais pas pourquoi, mais je sens qu’il y en a qui crie au scandale) Secondo, je n’apprécie pas trop la chaleur et encore moins les coups de soleil. Et tant pis si je reste blanc ! Rien à faire. Terzo, je ne vois jamais deux potes en même temps, y’sont tous éparpillés (y’z’ont leur vie, c’est normal…). Quarto, mes potes partent en chasse, signent pour des CDD amoureux estivaux (ça te rappelle quelque chose Isa ? ;-) ), alors que ce genre de pratique me répugne. Quinto, mon cerveau a tendance à se mettre (lui aussi) en veille, ce que je n’accepte pas (ça rejoint la première raison). Sesto, je suis seul, mais ce n’est pas nouveau (ça rejoint la quatrième raison).
La saison que j’affectionne le plus reste le printemps : il fait beau sans faire trop chaud.
Ayayaïe ! Caramba(r) ! Qu’est-ce que je peux déblatérer comme idioties !! Hein ? Comment ça je suis sévère avec moi-même ?!
Z’avez peut-être raison… Mais comme m’a soufflé un certain Y.H. cette nuit, alors qu’il n’arrivait pas à dormir, "Personne n’est parfait avec lui-même, encore moins en couple !"
Yeah. ;-)
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Merci !
Yohann ©®™☺☼♥♫≈(2003-2009)
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